Machine virtuelle multiboot prête à l’emploi

Complètement inutile, donc indispensable ! Certains diront cela, et d’autres diront… « Hey génial » 🙂

Pourquoi j’en suis venu à créer ce genre de machine virtuelle (VM) ? Cela rentre dans le cadre du travail.

Mon client tourne sur Windows Seven depuis de nombreuses années. Il n’est pas nécessaire pour lui de changer de système d’exploitation (OS), car tout fonctionne parfaitement. Et comme on dit dans le domaine de l’informatique professionnelle, tant que ça tourne, on ne touche à rien, on ne modifie rien pour le plaisir 🙂 

Ici on va parler de curiosité de la part du client 🙂 Mais aussi, manière de se tenir au courant ! Car oui, il ne connaît pas Windows 10, et encore moins GNU/Linux et toutes ses distributions 🙂

Partant du fait que le client ne voulait pas que tout soit chamboulé pour lui, que tout soit chamboulé sur une machine à lui, et partant du fait que je voulais effectuer des tests sur l’accès distant vers une machine virtuelle hébergée chez moi, et bien voilà, l’idée avait germée dans ma caboche 🙂

Attention, je ne vais pas expliquer la mise en place de l’accès distant. Je n’ai tout simplement pas le temps en ce moment, que ce soit ici ou ailleurs sur Blabla Linux et Blabla Windows. Je modifierai cet article plus tard pour y apporter plus de contenus 🙂

De par ces quelques lignes je voulais juste expliquer pourquoi une machine virtuelle ainsi. Je la propose donc en téléchargement pour qui le souhaite 🙂

Spécifications machine virtuelle

Cette dernière est réglée aux petits oignons pour fonctionner parfaitement avec les trois systèmes installés. On parle donc de Windows 10 Famille, Linux Mint 18.3 (Cinnamon) et Linux Ubuntu 18.04 (Gnome).

Concernant les disques virtuelles, ils sont au nombre de cinq !

multiboot-test.vdi

  • /dev/sda
    • /dev/sda1
    • /dev/sda2

NewVirtualDisk1.vdi

  • /dev/sdb
    • /dev/sdb1

NewVirtualDisk2.vdi

  • /dev/sdc
    • /dev/sdc1

NewVirtualDisk3.vdi

  • /dev/sdd
  • /dev/sdd1
  • /dev/sdd2
    • /dev/sdd5

NewVirtualDisk4.vdi

  • /dev/sde
  • /dev/sde1

Un petit visuel avec GParted

Le même chose avec notre ami le terminal et la commande « fdisk -l »…

Disque /dev/sda : 120 GiB, 128849018880 octets, 251658240 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0x570c6156

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sda1 * 2048 1126399 1124352 549M 7 HPFS/NTFS/exFAT
/dev/sda2 1126400 251656191 250529792 119,5G 7 HPFS/NTFS/exFAT


Disque /dev/sdb : 120 GiB, 128849018880 octets, 251658240 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0xebbdd74b

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sdb1 2048 251656191 251654144 120G 83 Linux


Disque /dev/sdc : 120 GiB, 128849018880 octets, 251658240 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0xd71e1430

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sdc1 2048 251656191 251654144 120G 83 Linux


Disque /dev/sdd : 120 GiB, 128849018880 octets, 251658240 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0xbadf0635

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sdd1 2048 10000383 9998336 4,8G 82 partition d'échange Linux / Solaris
/dev/sdd2 10002430 251656191 241653762 115,2G 5 Étendue
/dev/sdd5 10002432 251656191 241653760 115,2G 83 Linux


Disque /dev/sde : 120 GiB, 128849018880 octets, 251658240 secteurs
Unités : sectors of 1 * 512 = 512 octets
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disklabel type: dos
Disk identifier: 0xdae73b25

Périphérique Amorçage Start Fin Secteurs Size Id Type
/dev/sde1 2048 251654143 251652096 120G 7 HPFS/NTFS/exFAT

En pratique cela donne la partition boot (NTFS) avec le système Windows 10 Famille (NTFS) sur le premier disque, la racine du système Linux Mint 18.3 Cinnamon (EXT4) sur le deuxième disque, la racine du système Linux Ubuntu 18.04 (EXT4) sur le troisième disque, la partition d’échange (SWAP-EXT4) ainsi que la partition « home » (EXT4) sur le quatrième disque.

Les additions invité VirtualBox sont installé sur chaque système ! 🙂

Le cinquième disque contient une partition « DATA » NTFS commune aux systèmes Linux. Cette dernière est montée automatiquement à la connexion dans la partition « home ». Le point de montage est /home/bblx/data-ntfs-commune 🙂

Je reviendrai prochainement sur les étapes de l’utilisation distante de cette machine virtuelle. En deux mots…

  • Machine hôte Linux (ou Windows) avec système à jour ;
  • Installation de la dernière version de VirtualBox et de son pack d’extensions ;
  • Création d’une machine virtuelle avec l’activation du serveur distant ;
  • Redirection de ports au niveau de l’adaptateur réseau de la machine virtuelle ;
  • Création d’un « hostname » grâce à un service comme DynDNS, No-IP, … ;
  • Mise en place de la mise à jour automatique du nom d’hôte ;
  • Redirection de ports au niveau du routeur ;

Mais en attendant ce moment, voici la machine virtuelle qui à été proposée et utilisée par mon client.

Si vous décidez de télécharger l’archive .ova qui contient un .ovf et un .vmdk, vous pourrez importer cette machine dans VirtualBox ou VMware (hyperviseur 1 et 2). La spécification « ova » signifie « Open Virtual Machine Format » et est un standard utilisé pour la portabilité. Vous bénéficierai donc du dernier état de la machine virtuelle.

Par contre si vous voulez en plus bénéficier de tous les instantanés créés tout au long du processus de création, vous pouvez alors télécharger l’archive .7z qui contient une copie du répertoire de la machine virtuelle. Donc à ouvrir avec VirtualBox car le répertoire contient un .vbox et des .vdi 🙂

Cette machine virtuelle à été créée avec VirtualBox. Les additions invité ont étés installés pour chaque système que contient la machine virtuelle. Si vous décidez d’utiliser cette machine virtuelle avec VMware, vous devrez (sans obligations) installer les tools de ce dernier.

Téléchargements

Les identifiants des systèmes sont repris dans la description de la machine virtuelle 🙂

Serveur FTP

Sur le cloud OneDrive ⇒ à privilégier

Ce sont des liens de téléchargements directs. OneDrive peut demander à être connecté. Si vous avez un compte tant mieux 🙂 Sinon, une fois arrivé sur la page demandant les identifiants, il suffira d’effectuer un retour en arrière, et magie vous aurez accès au fichier sans être connecté 🙂 Je pense que c’est un bug de OneDrive 🙂 


Je ne suis pas un libriste comme les autres ! J’aime le répéter ! Puisque l’on n’aime me le faire remarquer ! Linux, Windows ne sont pour moi que des outils ! Et j’utilise les outils qui répondent le mieux à mes besoins !
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2 réflexions sur “Machine virtuelle multiboot prête à l’emploi

    1. Merci. Alors regardes, c’est mentionné plus haut en rouge : « Les identifiants des systèmes sont repris dans la description de la machine virtuelle  » 🙂 Donc une fois la machine virtuelle ajoutée à ton logiciel de virtualisation, dans la catégorie description je mentionne toujours les identifiants. Parfois dans l’archive je crée également un fichier .txt qui contient tous les identifiants. Bien souvent pour les VMs prêtent à l’emploi que je crée, les identifiants sont… user : bblx / pass : blabla 🙂

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